EXCLUSIF - Henri Godron, le nouveau président de Biocoop, a pris les commandes du leader français de la distribution bio à la croisée de trois crises : celle des agriculteurs, celle du bio, et celle de sa coopérative. Il dévoile à Challenges ses pistes pour éteindre l'incendie.

Fin 2023, une rencontre entre notre éditorialiste Maurice Szafran et Robert Badinter avait permis de l'entendre sur ses réflexions du moment. L'homme était grave et inquiet. Israël, l'antisémitisme, la gauche et le mélenchonisme étaient au centre de ses préoccupations. Retour sur un entretien passionnant, comme d'habitude.

EXCLUSIF - Dans un enregistrement que s'est procuré Challenges, Paul Saleh livre un éclairage sur les sensibles tractations en cours avec Daniel Kretinsky et Airbus sur la scission du groupe. Des ventes qui doivent permettre de faire face au mur de la dette et sauver le soldat Atos.

INTERVIEW - Représentant de Taipei en France depuis 2018, François Wu occupe le poste « non-officiel » d'ambassadeur à Paris. Non-officiel puisque, comme de nombreux pays, Paris ne reconnaît pas l'existence officielle de Taïwan. A la veille du scrutin qui doit désigner le nouveau président taïwanais, François Wu a répondu aux questions de Challenges.

EXCLUSIF - Un mois après son départ de la direction générale de Carrefour France, Rami Baitiéh, qui prendra la tête de l'enseigne Morrisons au Royaume-Uni au début du mois de novembre, se confie à Challenges sur les raisons de son départ. Et sur ses nouveaux défis de l'autre côté de la Manche.

Une dizaine de jours seulement après son arrivée à la direction générale du pôle aérien du groupe Dubreuil (Air Caraïbes, French Bee), Christine Ourmières-Widener dévoile ses ambitions. Et revient sur son parcours et sa nomination, quatre mois après son licenciement soudain de la compagnie aérienne portugaise TAP. Rencontre.

EXTRAIT - Dans le Dictionnaire amoureux de l'entreprise et des entrepreneurs, Bernard Arnault (actionnaire de Challenges), PDG de LVMH, se livre sur sa vision de l'artisanat.

Le patron de la Région Sud qui vient de claquer la porte des Républicains, dont il dénonce la droitisation, a mis le cap sur Bruxelles, où il négocie en direct avec les commissaires européens de généreuses dotations pour sa collectivité.

Recevant Challenges le 5 février, Frédéric Mion s'accrochait encore à son poste au nom de la défense de l'institution, menacée par l'affaire Duhamel. Las, il a fini par démissionner, s'empêtrant dans ses mensonges et la protection de ses réseaux.