
Alors que la loi libéralisant le marché de l'assurance emprunteur vient en débat au Sénat le 26 janvier, les sénateurs (Les Républicains) Jean-Baptiste Blanc et Daniel Gremillet expliquent, dans une tribune au « Monde », que renoncer aux avancées du Sénat sur les aspects médicaux serait un terrible recul pour des millions de malades ou d'anciens malades voulant accéder à la propriété.