
Les lèvres d'Anna-Maria Romantchouk, une jeune collégienne de 14 ans, tremblent encore, après que son école à Kiev, le Gymnasium N. 34, a été touchée par un missile russe vendredi. Ca fait peur, dit-elle dans un anglais hésitant, le visage pâle, malgré le réconfort de sa mère Oksana.