
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a exigé de Paris dimanche un respect total de l'Etat algérien, soulignant à l'adresse de son homologue français Emmanuel Macron que l'histoire ne peut pas être falsifiée. M. Macron a déclenché la colère d'Alger après des propos, rapportés samedi 2 octobre par le journal français Le Monde, accusant le système politico-militaire algérien d'entretenir une rente mémorielle en servant à son peuple une histoire officielle qui ne s'appuie pas sur des vérités.