
La Guadeloupe et la Martinique ont renoué vendredi avec une circulation fluide, même si des barrages subsistent à des endroits stratégiques, confirmant une accalmie du mouvement social qui a dégénéré en crise il y a deux semaines. Né du refus de l'obligation vaccinale contre le Covid-19 pour soignants et pompiers, le mouvement social, qui touche également Saint-Martin, s'est étendu à des revendications politiques et sociales, notamment contre la vie chère, occasionnant violences, pillages et incendies. Au point que Guadeloupe et Martinique ont été placées sous couvre-feu.