
La junte birmane a lancé de nouvelles accusations de corruption contre Aung San Suu Kyi, qui pourrait être exclue de la vie politique si elle est reconnue coupable, et maintient son emprise sur plusieurs villes du pays en proie à une répression féroce. Le bilan des victimes s'alourdit de jour en jour. Au moins sept personnes ont été tuées mercredi par les forces de sécurité, d'après l'Association d'assistance aux prisonniers politiques (AAPP).