
Carrie-Ann dépose un téléphone sur le comptoir d'une discrète agence de Duisbourg, dans l'ouest de l'Allemagne. En cinq minutes, elle obtient un prêt de 120 euros en liquide, un apport précieux en ces temps de forte inflation. Je voulais confier mon téléphone (elle en a deux, ndlr) parce que j'ai des courses à faire, la nourriture pour chat, des cigarettes pour ma mère.