
BRUXELLES/MADRID (Reuters) - Carles Puigdemont, l'ancien dirigeant catalan en exil, a posé mardi comme condition à son soutien à l'élection d'un nouveau président du gouvernement espagnol que toutes les affaires judiciaires concernant le séparatisme catalan soient abandonnées. Cette déclaration fait suite à sa rencontre lundi avec Yolanda DÃaz, vice-présidente par intérim, qui cherche à obtenir le soutien du séparatiste pour maintenir au pouvoir la coalition de gauche de Pedro Sanchez. De élections en juillet n'ont pas réussi à donner la majorité absolue à un parti.