
Dans la vallée de Tangi, au creux des montagnes afghanes, Ismail Ashuqullah, 25 ans, regrette de ne pas avoir eu le temps de commettre un attentat suicide pour venger le Coran, quand la guerre faisait rage dans cette région fière de ses martyrs. Lorsque j'ai été informé par mes supérieurs que je devais rejoindre le bataillon (des candidats aux attentats suicide), j'ai été ravi que Dieu m'ait choisi. J'ai ressenti beaucoup de joie, ânonne d'une voie douce Ismail, regard rehaussé de khôl.