
Marine Le Pen a promis dimanche d'imposer de gré ou de force l'actuelle crise de l'énergie au programme du Parlement, lors d'une visite dans son fief d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) où elle a fait sa rentrée politique. Avertissant de rationnements, restrictions, délestages, pénuries à venir en raison de difficultés à s'approvisionner en gaz et à produire de l'électricité, elle a regretté que le Parlement ait rejeté sa proposition de session extraordinaire sur l'énergie. C'est un sujet essentiel immédiat mais on nous met, nous députés, au chômage technique, a-t-elle souligné.