Rémunération minimum, prime de nuit: les avancées obtenues par les livreurs d'Uber Eats à Saint-Etienne pourraient essaimer dans d'autres villes, espèrent des représentants de travailleurs, selon qui la plateforme veut éviter cet effet boule de neige. Deux jours de forte mobilisation, les 13 et 18 décembre, ont suffi aux livreurs stéphanois pour obtenir des concessions de la part d'Uber Eats: une rémunération minimum, à certaines heures et sous conditions, et le retour d'une prime de pluie, à hauteur d'un euro par commande. Ces avancées ont permis à la plateforme de passer Noël sans perturbation dans la préfecture de la Loire, alors que 180 livreurs, soit 90% des effectifs stéphanois travaillant pour les plateformes Uber Eats, Deliveroo et Stuart, s'étaient mobilisés les 13 et 18 décembre, assure Pierre, l'un des porte-paroles du mouvement.
Uber Eats: en quête d'avancées, les livreurs veulent s'inspirer du modèle stéphanois
Rémunération minimum, prime de nuit: les avancées obtenues par les livreurs d'Uber Eats... ..
Multipostit B2
Publié 4 années depuis
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Multipostit B2
Homme , Lives in France
Source et suite : www.challenges.fr
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