Breakdance: Nasty et sa révolution olympique
Multipostit B2 -
3 Jahre vor
Quelques cris de déception jaillissent dans la salle jaune de l'école de Loubeyrat (Puy-de-Dôme), le groupe d'enfants en nage est déçu: il n'y aura pas cours de breakdance lundi prochain, pour cause de Championnats du monde à Séoul, en Corée du Sud.
Nathanaël Etouke, alias Nasty dans le milieu du breakdance, donne des cours depuis trois ans dans cette petite commune du centre de la France, à une trentaine de kilomètres de Clermont-Ferrand.
Mais depuis qu'il a intégré l'INSEP, l'usine à champions du sport français, aux côtés de cinq autres athlètes, pour se préparer à représenter la France aux Jeux olympiques 2024 de Paris, la routine du B-boy (comme on désigne les spécialistes de breakdance) de 29 ans a été bouleversée, à l'image d'une discipline en pleine mutation.