Dans l'ancien et dans le neuf, la baisse des prix est une réalité qui dure. Mais seuls les propriétaires pressés de vendre font un effort, les autres attendent.

Alors que l'activité ralentit et que les stocks augmentent, les prix fléchissent dans presque tous les quartiers.

Le secteur Périer-Prado et le Camas, proches du centre, attirent les néo-Marseillais, quand les locaux préfèrent prendre de la hauteur dans les 8' et 9' arrondissements.

Les quartiers bordelais affichent désormais des prix plus homogènes. Les acquéreurs pour qui la Belle Endormie reste inaccessible peuvent lorgner les communes proches.

Après trois années euphoriques, si le marché de l'immobilier tend à se calmer, les prix ne baissent toujours pas dans la cité du Conquérant.

Dans la Cité océane, malgré la douceur maritime, des quartiers et des espaces séduisants, le marché ralentit. Mais les prix ne baissent pas encore franchement. Retrouvez en fin d'article un tableau des prix en Normandie.

Autrefois si prisés, les quartiers historiques et les maisons de charme sont délaissés pour des achats de nécessité. Seuls les petits biens tirent leur épingle du jeu.

Après deux années exceptionnelles, le ralentissement annoncé se concrétise à peu près partout. Mais ce sont surtout les biens surcotés qui se vendent plus difficilement

Dans une cité phocéenne en pleine transformation, les noyaux villageois de Marseille attirent de plus en plus de familles.

Hors le centre historique ou les abords du jardin des Plantes, chics et chers, nombreux sont les quartiers aux prix très accessibles, une chance pour les petits budgets

DÉCRYPTAGE - Carburant, logement, niches' Sur plusieurs dossiers, l'exécutif a rectifié le tir face aux pressions.

La surprise vient du Vieux-Lille, où il devient plus facile d'acheter. Moulins ou Bois-Blancs, moins chers et plus jeunes, tirent leur épingle du jeu.

L'augmentation a été telle ces dernières années que les acheteurs peuvent aujourd'hui espérer négocier à peu près partout.

Les prix demeurent élevés dans le centre et les quartiers chics. Pour trouver moins cher, il faut s'orienter vers les secteurs les moins demandés.

Avec Saclay, le département dispose d'un pôle culturel et universitaire majeur drainant une importante demande' qui devrait se renforcer dans certains secteurs.

Rural et bien relié à Paris, le plus grand département d'Ile-de-France pêche en eau trouble : avec une baisse des prix de 2 à 3 %, c'est le moins touché par le contexte économique.

Les acquéreurs sortent de Lyon pour trouver plus grand et moins cher. Il faut dire que les villes alentour ont de quoi séduire les familles.

L'activité se ralentit dans le département, où quinze villes accueilleront la flamme olympique. L'envie d'espace perdure mais les biens de qualité se raréfient.

L'éloignement du centre-ville devient, pour certains, un impératif. Les communes de la Métropole et celles du Pays voironnais attirent donc de plus en plus d'acheteurs. Pour bien choisir, retrouvez notre tableau des prix quartier par quartier en fin d'article.

Les prix s'ajustent dans plusieurs arrondissements, excepté pour les biens de qualité, qui trouvent preneur rapidement.

Tandis que les tarifs restent élevés dans les quartiers les plus cotés, les secteurs les moins chers sont appelés à prendre de la valeur.

Premier touché par la baisse du nombre d'acquéreurs, le marché des maisons est au point mort. Seuls les appartements se vendent encore, notamment dans des quartiers villages abordables comme Saint-Aubin.

A deux heures de Paris, le célèbre port du Havre propose des prix attractifs aux amoureux du grand large.

De part et d'autre de la Seine, tous les quartiers de la ville offrent un cadre de vie agréable, y compris rive gauche où les Rouennais restent réticents à s'installer

Si l'attrait de la capitale des Gaules ne se dément pas, les prix se stabilisent, voire baissent sur les biens de qualité moyenne.

Malgré un fléchissement de l'activité dans la plupart des quartiers, les prix se maintiennent, sauf en cas de défauts ou de mauvais DPE.

Avec des prix toujours hauts et des taux qui grimpent, les ventes ralentissent. Les acheteurs réfléchissent pour ne pas se faire piéger par le coût des travaux, des charges ou du transport.

Un centre parfois boudé car trop cher, des secteurs prometteurs' L'évolution des prix et les nouveaux aménagements modifient la hiérarchie des quartiers de Bordeaux et des villes alentour.

Il y a du mouvement dans la cité phocéenne : de nouveaux arrivants provenant de grandes villes (l'Opéra), un quartier en devenir (Belsunce) et quelques résidences neuves.

Du centre, toujours prisé des acquéreurs, à l'agglomération, avec sa large gamme de prix, partout le marché se porte bien.