Il sera disponible à partir de juillet 2024 en quantité limitée. Une opportunité unique de rendre hommage à un moment crucial de l'histoire européenne et un rappel de la valeur de la liberté et de la paix.

Il sera disponible à partir de juillet 2024 en quantité limitée. Une opportunité unique de rendre hommage à un moment crucial de l'histoire européenne et un rappel de la valeur de la liberté et de la paix.

(Reuters) - Le président américain Joe Biden prévoit de commémorer l'attaque du Capitole, survenue le 6 janvier 2021, par une cérémonie à la Maison Blanche, comme l'indique un calendrier publié lundi par son bureau. L'évènement de vendredi sera un rare moment pour Joe Biden d'évoquer le sujet de l'assaut meurtrier mené par les partisans de l'ancien président républicain, Donald Trump, contre le Capitole à Washington. Il y a un an, Joe Biden avait accusé son prédécesseur de représenter une menace pour la démocratie américaine, alors qu'il l'évoque très rarement en public et se focalise sur l'apaisement des tensions à l'intérieur du pays.

Il est huit heures du soir et neuf minutes ce samedi 4 juin. Chiu Yan-loy éteint les lumières de son bureau à Hong Kong. Il allume plusieurs bougies et, seul, se recueille à la mémoire des centaines de manifestants tués sur la place Tiananmen à Pékin il y a 33 ans.

Le pouvoir démocrate essaie de rassurer sur la solidité des institutions, tandis que l'opposition républicaine boude les commémorations: une Amérique profondément divisée va marquer, jeudi, l'assaut donné le 6 janvier 2021 contre le Capitole. Le ministre fédéral de la Justice, Merrick Garland, doit faire un point mercredi sur l'enquête criminelle contre les partisans de l'ancien président républicain qui, par milliers, ont tenté il y a un an d'empêcher les parlementaires américains de certifier l'élection de Joe Biden. La police fédérale américaine pense désormais qu'au moins 2.000 personnes ont été impliquées, dont 225 accusées d'avoir commis des violences.

Des milliers d'Arméniens ont défilé samedi, des bougies et des fleurs à la main, à Erevan pour commémorer le 106e anniversaire des massacres d'Arméniens par l'Empire ottoman pendant la Première Guerre mondiale. La foule s'est rendue depuis le centre-ville de la capitale jusqu'au mémorial dédié aux victimes de ce que l'Arménie, une trentaine de pays du monde et une communauté d'historiens qualifient de génocide, un terme rejeté avec véhémence par la Turquie. Des militaires, des dignitaires religieux, des femmes avec des enfants et des responsables du pays, dont le Premier ministre Nikol Pachinian, sont venus se recueillir près de ce mémorial surplombant Erevan, comme c'est la tradition en Arménie tous les 24 avril, jour du début des massacres en 1915.