En voulant interdire dès jeudi les transactions en dinar serbe, le Kosovo - où l'euro est la monnaie officielle - prend le risque d'une nouvelle crise avec la Serbie, et de nouvelles admonestations des Occidentaux qui y voient une provocation inutile. Selon la nouvelle règlementation qui doit entrer en vigueur le 1e février à minuit, la seule monnaie acceptée pour les paiements en espèce ou les transactions au Kosovo est l'euro. A la fin de la guerre, en 1999, le Kosovo, alors province serbe, avait choisi le Deutschmark comme monnaie - le dinar yougoslave étant en train de disparaître.

C'est l'accalmie après l'euphorie. Malgré la baisse des ventes, la demande reste prégnante et les prix élevés. Au grand dam des locaux, qui souffrent aussi toujours de la concurrence des locations touristiques.

La Côte d'Emeraude séduit toujours autant. Au grand dam de certains, qui voient d'un mauvais 'il la multiplication de résidences secondaires et de locations saisonnières qui fait flamber les prix

La baie malouine attire toujours autant les acquéreurs, au point qu'il est difficile pour les locaux de s'y faire une place.

Effet TGV et effet Covid ont encore accru l'attractivité de Saint-Malo, mais aussi de Dinard et de toute la Côte d'Emeraude. La hausse des prix est telle que de nombreux acheteurs s'éloignent dans l'arrière-pays.

C'est la deuxième villa que le milliardaire breton a acheté à Dinard. La première, acquise en 2012, est classée monument historique.

La baisse de 25 % de la valeur du dinar irakien par rapport au dollar a fait flamber les prix et diminuer les salaires. Mais pour les formations politiques qui préparent les législatives prévues en octobre, les conséquences de cette dévaluation sont peut-être différentes.

La crise sanitaire n'a pas eu d'impact négatif dans ces deux villes phares de la Côte d'Emeraude qui séduisent toujours autant les acquéreurs.