WeWork, en faillite, demande l'autorisation pour commencer à résilier ses baux
Multipostit B2 -
1 Jahr vor
par Dietrich Knauth
NEW YORK (Reuters) - WeWork apparaîtra pour la première fois devant un tribunal américain des faillites mercredi, afin de présenter une proposition de restructuration qui pourrait réduire sa dette de 3 milliards de dollars (2,81 milliards d'euros) et le nombre d'espaces de coworking du groupe.
La société américaine de la location de bureaux en partage, détenue en majorité par Softbank, a demandé lundi la protection de la loi sur les faillites au tribunal de Newark, dans le New Jersey, cherchant à remédier à sa dette de plus de 4 milliards de dollars et à ses coûts de location élevés.
Jadis startup américaine la plus valorisée à Wall Street, WeWork a déclaré avoir scellé un accord de restructuration avec des parties prenantes clé afin de réduire de manière drastique sa dette consolidée actuelle.