Les strip-teaseuses de l'Etat de Washington, au nord-ouest des Etats-Unis, sont désormais protégées par un véritable droit du travail, grâce à une loi fixant un cadre précis pour l'exercice de leur métier. Promulgué lundi, ce texte s'applique aux clubs dans lesquels travaillent l'immense majorité des effeuilleuses et représente une avancée majeure pour une profession très peu réglementée. Il requiert que les employés des établissements soient formés à la prévention du harcèlement sexuel, à la dénonciation de la traite des êtres humains, à la gestion des conflits ainsi qu'à l'administration des premiers secours.

Des strip-teaseuses néo-zélandaises, certaines en tenue de scène, ont manifesté jeudi devant le Parlement à Wellington pour réclamer une meilleure protection juridique dans le secteur des spectacles pour adultes. Les abus auxquels nous sommes confrontés nous rendent vulnérables en tant que travailleurs, a affirmé Margot Embargo, qui se présente sous un pseudonyme, porte-parole de ce rassemblement qui a réuni des dizaines de manifestants, dont quelques hommes. Margot Embargot (G) et Vixen Temple, deux des organisatrices de la manifestation qui a réuni des dizaines de strip-teaseuses devant le Parlement néo-zélandais à Wellington, le 1er février 2024, pour demander une meilleure protection juridique (AFP - Marty MELVILLE) Pour Vixen Temple, une danseuse de pole dance, qui tournait autour d'une barre mobile sous les yeux des parlementaires, il est vital que le gouvernement améliore les droits des personnes qui travaillent pour l'industrie du divertissement pour adultes.

Des strip-teaseuses d'un club de Los Angeles ont lancé mercredi une procédure pour se syndiquer, dernier corps de métier en date à prendre part à une forte poussée du syndicalisme aux Etats-Unis. Des danseuses du Star Garden Topless Dive Bar ont déposé une requête visant à, in fine, se faire représenter par un syndicat des professionnels du spectacle, baptisé Actors' Equity, une première. On aime ce qu'on fait, a déclaré Velveeta, l'une des strip-teaseuses, dans un communiqué d'Actors' Equity.

CONCEPT-CAR ? Le couturier britannique Paul Smith s'est exprimé plusieurs fois sur des Mini. Sa dernière réalisation en date, sur la base de la version électrique, ne manque pas de surprendre. Plutôt que d'habiller l'auto, il l'a déshabillée, ne laissant que le minimum à bord.

Joe Biden, fils d'un concessionnaire automobile du Delaware, semblait très à l'aise, le 5 août, campé dans le jardin de la Maison-Blanche devant un bel échantillon du génie high-tech de Ford, General Motors et Chrysler. Le président annonçait ce jour-là un véritable branle-bas de combat industriel : il souhaite voir les constructeurs réaliser la moitié de leur chiffre d'affaires avec les voitures électriques à partir de 2030. Or, 2030, c'est demain. Et le ...