
Le vice-président Commission européenne entame samedi une visite de quatre jours en Chine. L'Union veut enquêter sur les subventions illégales de Pékin à son industrie auto sans froisser le Parti communiste. Le hic: si la Chine interrompait ses fournitures de composants, Renault, Stellantis, Volkswagen arrêteraient de produire des voitures électriques