
Au dernier jour lundi des discours de dirigeants à l'Assemblée générale de l'ONU, la Birmanie et les talibans afghans ne s'exprimeront pas. Une curiosité parmi d'autres du marathon diplomatique qui aura vu venir à New York une centaine de dirigeants et des dizaines de ministres au risque de créer un foyer de Covid-19. Au programme initial de l'ONU, le débat général devait s'achever par successivement la Birmanie, la Guinée et l'Afghanistan.