
Jair Bolsonaro et Lula portent un gilet pare-balles à leurs meetings électoraux. A moins de trois mois de la présidentielle qui va se jouer sous haute tension au Brésil, la sécurité des candidats est une préoccupation majeure. L'assassinat de l'ex-Premier ministre japonais Shinzo Abe la semaine dernière a fait déferler sur les réseaux sociaux une vague de commentaires inquiets sur les risques encourus par les candidats au scrutin du 2 octobre.