
A quelques mois de la COP28 de Dubaï, début décembre, les pressions s'accroissent sur les géants du pétrole, accusés par les ONG environnementales d'abandonner peu à peu leurs objectifs de décarbonation pour plaire à leurs actionnaires ou à leurs banquiers. Le problème (.) ce sont les énergies fossiles elles-mêmes, point final, a lancé le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, désignant dès juin le pétrole, le gaz et le charbon comme responsables de la fournaise qui a embrasé Hawaï, le Canada ou la Grèce cet été.