
Le numéro un auto mondial relève à la hausse des prévisions de profits et s'achemine vers une année record, malgré la crise. Ses rapports étroits avec les fournisseurs expliquent en partie ces succès. BMW, Volkswagen ou Stellantis profitent aussi, dans une moindre mesure, de la hausse des prix de vente des véhicules. La victime: le client.