
Entendus dans le cadre de la commission d'enquête sénatoriale sur la concentration dans les médias, les deux tycoons ont tenu des discours très défensifs, minimisant à la fois leur rang dans le secteur, et dégainant des arguments économiques et patriotiques pour expliquer leur rôle face aux géants du numérique. Sans vraiment convaincre un auditoire, en quête de propositions pour faire évoluer la loi.