
La famille du candidat à la présidence assassiné le 9 août en Equateur a porté plainte contre le gouvernement et les chefs de la police pour meurtre par omission volontaire, estimant que les pouvoirs publics n'ont pas garanti sa protection, a indiqué vendredi leur avocat. Selon Me Marco Yaulema, l'ancien journaliste et candidat centriste Fernando Villavicencio avait été menacé à plusieurs reprises par des criminels, et aurait dû pour cette raison bénéficier d'un dispositif de sécurité renforcée. Le 9 août M.