
Les violences se sont poursuivies en Equateur avec l'attaque dans la nuit de mardi à mercredi d'un poste de police d'une province amazonienne, alors que le gouvernement refuse de lever l'état d'urgence, une exigence du mouvement indigène préalable à l'ouverture de négociations. La foule a attaqué et incendié un poste de police de la ville de Puyo, dans la province de Pastaza, a indiqué mercredi matin le ministre de l'Intérieur Patricio M. Carillo au cours d'une conférence de presse à Quito.