 
	JUSTICE. Les propriétaires d'un immeuble marseillais évacué en urgence après les événements de novembre 2018, condamnés à de la prison ferme en première instance, ont été relaxés en appel. Plusieurs expertises effectuées sur le bâti se contredisent.





 
			 
			 
			 
			 
			 
			 
			 
			 
			 
				 
				 
				 
				 
				 
				








