
La directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, était sous le feu des critiques jeudi, mise en cause pour avoir, alors qu'elle était en poste à la Banque Mondiale, fait pression pour modifier un rapport afin de ménager la Chine, ce qu'elle dément. Une enquête du cabinet d'avocats WilmerHale a mis en lumière des irrégularités, dans la rédaction des éditions 2018 et 2020 du rapport Doing Business de la Banque Mondiale, qui passe au crible les conditions d'affaires dans les différents pays. Lors du classement de 2017, la Chine s'était montrée mécontente de sa 78e place.