SHANGHAI (Reuters) - La qualité de l'air en Chine s'est améliorée l'an dernier, profitant des mesures de confinement instaurées pour lutter contre l'épidémie de coronavirus, mais aussi grâce à des contrôles industriels plus stricts, montrent des données gouvernementales publiées vendredi. D'après le ministère de l'Ecologie et de l'Environnement, les concentrations de particules en suspension (PM2,5) ont diminué en moyenne de 8,3% pour s'établir à 33 microgrammes par mètre cube dans 337 villes chinoises. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande que la concentration moyenne de ces particules ne dépasse pas les 10 microgrammes.
