
Le premier confinement a entraîné une bascule du phénomène. Le chemsex, alliance de consommation de drogue à des fins de sexualité, explose en France selon les addictologues, qui s'inquiètent des ravages de ces pratiques dans la population gay. Pendant le confinement, des gens qui faisaient déjà du chemsex ont pour beaucoup aggravé leurs pratiques dans un contexte d'anxiété, de solitude, de fermeture.