
VIENNE (Reuters) - Le responsable de la surveillance nucléaire de l'ONU, Rafael Grossi, a annoncé samedi qu'il se rendrait lundi à Téhéran, afin que l'Iran autorise l'accès à deux anciens sites atomiques présumés, un dossier bloqué depuis plusieurs mois. Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), composé de 35 pays, a adopté une résolution en juin en ce sens, les sites concernés étant soupçonnés de continuer de contenir des matières nucléaires non déclarées ou des résidus de ces matières. (Francois Murphy, version française Jean-Michel Bélot)