
Pour le président de l'Assemblée générale de l'ONU, le Maldivien Abdulla Shahid, la session annuelle des dirigeants de la planète qui s'achève lundi a montré des préoccupations similaires même si un manque de confiance domine. Avec le retour à une présence physique à New York, la diplomatie ne peut qu'en tirer des bénéfices, estime-t-il dans un entretien à l'AFP, en assurant que tout le monde a respecté strictement les mesures imposées pour éviter un foyer de Covid-19. Question: Manque de leadership dans le monde, manque de confiance comme l'a illustré la crise franco-américaine.