
Des familles dans l'ouest de l'Ouganda attendent toujours lundi les résultats des tests ADN pour identifier des victimes du massacre perpétré par des jihadistes dans un lycée, qui a fait au moins 41 morts, pour la plupart des élèves surpris dans leurs dortoirs. Les victimes ont été attaquées à coup de machettes, abattues par balles ou brûlées vives vendredi soir dans l'école Lhubiriha à Mpondwe, près de la frontière avec la République démocratique du Congo (RDC). Quinze autres membres de la communauté, dont cinq filles, sont toujours portés disparus.