
par Asif Shahzad ISLAMABAD (Reuters) - Le gouvernement pakistanais a accusé mercredi l'ancien Premier ministre, Imran Khan, d'héberger des partisans recherchés pour les attaques contre l'armée intervenues après son arrestation la semaine dernière, et a averti qu'il avait 24 heures pour les livrer aux autorités, au risque de faire face à une opération policière. Imran Khan a été interpellé la semaine dernière par l'agence anti-corruption pakistanaise avant que la Cour suprême juge son arrestation invalide et illégale. C'est probablement mon dernier tweet avant ma prochaine arrestation, a écrit sur Twitter Imran Kahn, ajoutant que la police avait encerclé sa maison dans la ville de Lahore.