
ISLAMABAD (Reuters) - Un tribunal pakistanais a ordonné la libération sous caution de l'ancien Premier ministre Imran Khan pour deux semaines, a déclaré son avocat vendredi, après que son arrestation a déclenché des manifestations meurtrières et des confrontations avec l'armée. L'arrestation, jugée invalide et illégale par la Cour suprême jeudi, a provoqué des troubles politiques dans ce pays de 220 millions d'habitants, qui affronte une grave crise économique avec une inflation record et des retards dans le versement de fonds du FMI. Ils n'avaient aucune raison de m'arrêter.