
La fraude au chômage partiel s'élève à plus de 200 millions d'euros. D'un côté, les patrons qui en bénéficient tout en faisant travailler leurs salariés. De l'autre, un réseau bien organisé d'escrocs basés à l'étranger. Si les premiers sont faciles à repérer, les seconds donnent du fil à retordre aux autorités.