
Pour les militants des partis de gauche aussi, parler d'une seule voix est tout sauf une évidence. Et si l'union s'impose souvent comme une nécessité, ou même un idéal, ceux rencontrés par l'AFP lors des différentes universités d'été en arrivent parfois à une même conclusion: On a trop de divergences. Entre Valence, Blois, Strasbourg et Le Havre, les différences ne sont pas que d'ordre météorologique, surtout lorsque l'on évoque les élections européennes de juin.