
Un fonds activiste britannique veut empêcher le rachat de la partie cyberdéfense d'Atos par Airbus. Il a écrit une lettre à Guillaume Faury, directeur général d'Airbus le menaçant de procès s'il poursuivait dans cette voie. Il accuse la direction d'avoir des motivations politiques. Cette croyance est loin de faire l'unanimité, certains notant qu'Airbus n'était pas le candidat souhaité par l'Etat français.