
Wajiha Amimi n'a pas dormi de la nuit. La jeune Afghane l'a passée à défaire et refaire son sac, toute excitée à l'idée de retourner enfin à l'école, pour la première fois depuis août dernier et l'arrivée au pouvoir des talibans. Mercredi matin, sa joie a été de courte durée.