
C'est en train de nous bouffer la vie. Tests et règlementations variables, doutes sur la fiabilité des résultats: avant même d'avoir la boule au ventre sur le court, joueurs et joueuses préparent Roland-Garros, qui débute dimanche, dans un climat anxiogène. En pleine résurgence de la pandémie de Covid-19, qui avait conduit en début d'année les organisateurs à reprogrammer le Grand Chelem parisien à l'automne (27 septembre-11 octobre), c'est le sujet N.