Sans l'Unrwa, je meurs: la détresse des réfugiés palestiniens du Liban

Pour Fakhria el-Ali, une réfugiée palestinienne au Liban, la suspension par 13 pays de l... ..

Publié  9 Vues actualisé 3 mois depuis
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Pour Fakhria el-Ali, une réfugiée palestinienne au Liban, la suspension par 13 pays de leur aide à l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) qui finance son traitement pour le cancer est un arrêt de mort. Ma vie est un cauchemar. Sans l'Unrwa, je meurs, lâche à l'AFP cette femme de 50 ans, célibataire et sans emploi, depuis le camp de réfugiés de Beddaoui, dans le nord du Liban.

Source et suite : www.challenges.fr



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