
PARIS (Reuters) - Le président d'honneur d'Engie et de Suez, Gérard Mestrallet, s'oppose à l'offre de rachat de Veolia sur le spécialiste de la gestion des déchets dont il estime qu'il doit rester indépendant, écrit-il dans une tribune au Figaro parue dimanche. Une fusion créerait-elle une entité deux fois plus grande, où 1 + 1 ferait 2' La réponse est non, et cela tient au caractère hostile de l'opération, estime l'ancien PDG d'Engie.