
L'angoisse monte chez les Afghanes éduquées, qui craignent un avenir assombri à mesure que le nouveau gouvernement des talibans leur ferme des portes pour le travail ou l'éducation, en affirmant avoir encore besoin de temps pour les y autoriser. A 34 ans, Khaledi tenait un magasin de vêtements importés à Deh Buri, dans l'ouest de Kaboul. Trois jours après leur retour au pouvoir, à la mi-août, les talibans sont venus lui dire de fermer son magasin.