
EDITORIAL - En critiquant de manière virulente Israël et en soutenant le Hamas et la Palestine, Erdogan s'est isolé alors qu'il aurait pu jouer un rôle crucial dans la guerre au Proche Orient. A la fois membre de l'Otan et musulmane, la Turquie avait toutes les cartes en main. La politique étrangère du président turc est une diplomatie populiste dans laquelle le discours anti-occident est central, estime notre éditorialiste Marc Semo.