Alors que les propriétaires commencent à revoir leurs prix à la baisse, les acquéreurs reviennent, excepté dans le neuf.

ACQUISITION. Le transformateur de produits verriers vient de reprendre le spécialiste Rhône-alpin de verre plat. Il s'agit du deuxième rachat en quelques mois pour le groupe Cevino Glass après celui de l'entreprise Dumas 1770 en juillet 2023.

ACQUISITION. Le spécialiste français des services multi-techniques dans les secteurs de l'énergie et des communications vient d'annoncer le rachat de la société allemande qui opère sur le segment des infrastructures de télécommunication 5G mobile et réseau fibre.

À Béziers, ce ne sont pas les biens qui manquent à la location et à l'achat. Cependant, la cité de Riquet fait face à une baisse des acquéreurs. En cause : la hausse des prix immobiliers et celle des taux.

L'attrait de la station balnéaire ne se dément pas, et les prix s'en ressentent. Pour trouver un peu moins cher, il faut s'orienter vers les communes limitrophes.

IMMOBILIER. Le diagnostic de performance énergétique impacte fortement le marché immobilier, note SeLoger. Les acheteurs sont plus avertis, et les vendeurs sont contraints de revoir le prix des biens énergivores à la baisse.

Le prix de l'imobilier continue d'augmenter à Montpellier et sa proche périphérie malgré les récentes difficultés observées pour emprunter. 

Dans ces deux départements, l'attrait pour la nature et les biens avec extérieur favorise un marché aux tarifs toujours très abordables.

En tournant le dos à l'urbanisme vertical, des stations comme Val-Thorens ou La Plagne, longtemps boudées, connaissent un regain d'intérêt. Et attirent notamment les investisseurs.

Entre crise de l'offre, hausse des prix et désolvabilisation des acheteurs, ce type de bien pourrait ne plus être accessible à une majorité de Toulousains d'ici à deux ans.

Ce département aux vertes campagnes et aux villes moyennes séduit. A Alençon, les transactions sont encore vives et les prix y restent abordables, contrairement au Perche où ils ont grimpé en flèche.

Si Saint-Valery-sur-Somme et Le Crotoy restent deux stations phares, Cayeux-sur-Mer voit son marché immobilier décoller. Et pour cause, les prix y sont beaucoup plus doux.

Les tarifs s'affolent dans le Cotentin. Acheter une petite surface proche de la mer ou se replier dans les terres pour trouver plus spacieux, tel est le dilemme.

La société Casavo s'engage à vendre votre bien en 5 mois et si aucune transaction n'aboutit, la start-up rachète elle-même le logement, moyennant une décote de 6% par rapport au prix de marché.

La start-up montpelliéraine créée en 2012 facilite l'achat d'un bien, grâce à des mandataires qui peuvent en négocier le prix.

En bord de mer, tout se vend, même l'ancien. Les grands logements sont rares et partent à prix fort. Les quelques projets neufs sont un peu chers, mais raisonnables pour la côte.

La capitale européenne connaît un succès grandissant. En témoigne un marché soutenu dans lequel les biens à vendre se font rares et où les prix ne cessent de croître.

La capitale de l'horlogerie attire de plus en plus d'acheteurs avec des critères bien précis. L'offre peine parfois à suivre, et les valeurs sont en hausse.

La station reste une valeur sûre. Investisseurs, retraités et télétravailleurs aisés se partagent les rares offres. Les prix sont plus doux sur le reste de la Côte d'Opale.

Le coût du mètre carré intra-muros et l'envie de verdure poussent les acheteurs à s'éloigner, notamment vers les villes des monts d'Or. Mais Bron, Vénissieux, Oullins, Saint-Genis-Laval sont aussi très convoitées. Un succès qui entraîne inévitablement une hausse des prix dans ces communes.

Les deux départements restent très convoités, particulièrement le long de la vallée du Rhône. La pénurie se fait sentir et les prix augmentent.

C'est la ville qui monte dans le Var. A Toulon, où les prix sont en hausse de 10 % à 15 % et les projets urbains ambitieux, les acheteurs venus des grandes villes françaises affluent.

Crise sanitaire oblige, les acquéreurs se pressent dans le département. Si dans le Luberon et les Alpilles les biens se raréfient, c'est aussi le cas à Avignon où les ventes ont explosé.

La capitale normande est très demandée, et les investisseurs ne s'y trompent pas. Les prix ont augmenté, ce qui tend à exclure les primo-accédants.

Les deux villes déploient leurs plus beaux atours pour séduire investisseurs et nouveaux résidents.

Si le département attire, les tarifs doivent être raisonnables. Les offres viennent à manquer et il ne faut plus avoir peur des travaux pour trouver son bonheur.

L'attrait pour le Tarn-et-Garonne ne faiblit pas. La préfecture, où un quart des acheteurs viennent d'autres départements, commence même à en être modifiée, avec une population qui s'embourgeoise.

Les prix sont en très forte hausse dans la cité portuaire. Et pour cause : son offre de biens variée, sa taille humaine, son dynamisme économique sont des atouts infaillibles.

Du nord au sud, tout semble possible dans ce département. Mais, attention, les prix grimpent. La hausse a été de plus de 18 % en 2021 à La Roche-sur-Yon.

La métropole confirme son attractivité, mais les tarifs augmentent. Les acheteurs revoient leurs priorités et réorientent leurs recherches à une dizaine de kilomètres, afin de bénéficier de logements plus grands' et moins chers.

Confort des bourgs, charme des campagnes : la région offre de nombreuses possibilités aux citadins et néoruraux. Les investisseurs ne sont pas en reste.

Effet TGV et effet Covid ont encore accru l'attractivité de Saint-Malo, mais aussi de Dinard et de toute la Côte d'Emeraude. La hausse des prix est telle que de nombreux acheteurs s'éloignent dans l'arrière-pays.

Ce département bien desservi et riche en habitat individuel a de quoi satisfaire les acheteurs à la recherche de grandes surfaces et d'un environnement de qualité.

Les envies de verdure et le besoin de logements plus spacieux séduisent beaucoup de Parisiens, qui peuvent acheter dans le département une jolie maison pour le prix d'un appartement de 50 mètres carrés dans la capitale.

La ville, en pleine transformation, connaît un nouveau souffle. Le marché immobilier a gagné près de 4 % sur les deux dernières années.

Dans ces trois cités, les prix abordables et la qualité de vie attirent des acheteurs en quête d'une résidence principale ou d'un investissement.

La préfecture du Calvados a gagné en attractivité. La difficulté à trouver des biens disponibles entraînant une envolée des prix, certains acheteur se dirigent vers la périphérie.

Aux portes de Paris et du pays d'Auge, la vallée de la Risle accueille en masse des Franciliens en villégiature. Et Bernay attire les salariés et les retraités de la grande couronne.

Face à de redoutables concurrentes telles Nantes et La Baule, la ville portuaire aiguise ses atouts pour devenir l'une des plus attractives de Loire-Atlantique.

Du grand air, des pentes accessibles hiver comme été' La moyenne montagne séduit les acheteurs, et on y trouve de nombreux programmes neufs.

L'effet confinement se ressent encore pleinement à Bordeaux. Les acheteurs, prêts à changer de ville pour changer de vie, convoitent extérieurs, maisons et jardins. Quitte à faire une croix sur la métropole. Une tendance dynamique qui est favorable aux vendeurs.

Pour les citadins et de plus en plus de néoruraux, le Tarn-et-Garonne est un département de choix pour concrétiser des envies d'achat. Et face à une demande soutenue, les prix montent.

Dans les secteurs cotés du Luberon et des Alpilles, les acheteurs internationaux sont beaucoup moins présents. Mais ils sont remplacés par des Français, notamment des Parisiens, qui contribuent à garder des prix très élevés.

La pandémie a poussé quantité de citadins à chercher un coin de nature pour les fins de semaine ou les vacances. Les biens atypiques, uniques et souvent moins chers, peuvent être une bonne solution. A condition de ne pas avoir peur des travaux.

LOGEMENTS. La crise sanitaire a accentué l'envie des Français de posséder une résidence secondaire ou de vendre leur bien immobilier pour en acheter un nouveau, montre une étude Drimki publiée en juin.

IMMOBILIER. Une récente étude OpinionWay pour SeLoger montre que les travaux ne représentent pas un frein pour les futurs acheteurs. Ils souhaitent, en revanche, être davantage accompagnés dans la rénovation de leur bien.

Le groupe Renault a confirmé mardi qu'il cherchait un acquéreur pour la Fonderie de Bretagne (FDB), mise en vente par le groupe automobile, et appelle à mettre fin à la situation sur le site de Caudan, bloqué par les grévistes depuis trois semaines. A la suite du processus d'information-consultation des salariés d'une période de deux mois qui s'est achevé ce jour (mardi), Renault group engage la recherche d'un acquéreur pour le site de Caudan, indique un communiqué du constructeur automobile. Renault group réaffirme sa détermination à chercher un acquéreur viable économiquement et en capacité de maintenir l'activité et les emplois de la Fonderie de Bretagne de façon pérenne et à accompagner les salariés dans cette transition, précise-t-il.

Tout va bien ! Une conjonction de facteurs ? taux d'intérêt bas, recherche d'un environnement calme et vert ? renforce encore le pouvoir de séduction ce département.

L'attrait pour les beaux immeubles de l'hypercentre n'a pas été freiné. Le prix de l'ancien en très bon état est en hausse. Mais la ville offre encore des opportunités.

Avec son accès rapide à Paris, la préfecture de la Somme attire les acheteurs d'Ile-de-France. Pourtant, les prix ne s'envolent pas, et les investisseurs font de bonnes affaires.