
EDITORIAL - Après un mois et demi au pouvoir, le président ultralibéral argentin Javier Milei a été confronté mercredi 24 janvier à une grève générale et à sa première contestation d'ampleur. Les premiers effets de sa volonté de déréguler l'économie argentine font bondir une partie de la population, qui l'a pourtant élu avec 56 % des voix.