
Il existe tout un arsenal de mesures qui peuvent permettre aux agriculteurs français de beaucoup moins souffrir des conséquences de la guerre en Ukraine. Seul problème : la plupart d'entre elles relèvent juste du bon sens mais se heurtent à une opinion publique qui ne veut entendre parler ni d'OGM, ni de glyphosate ou encore moins de farines animales. Le gouvernement osera-t-il aller dans ce sens en période électorale'