
Selon Bruno Le Maire, les agriculteurs en difficulté vont pouvoir retarder d'un an le paiement de leur dette bancaire, rééchelonner leurs échéances et bénéficier de prêts à taux préférentiels. Les exploitations en grande difficulté pourront bénéficier de prêts d'urgence à taux préférentiel, "compris entre 0 et 2,5% en fonction de la situation des exploitations".