
Chaque matin sous l'aube dorée du désert de Sonora, Jacques-André Istel prend son petit-déjeuner au lit à Felicity. Un petit village de Californie bâti à la force de ses rêves, qui revendique le titre de centre du monde. Sur mille hectares, le Franco-Américain érige patiemment depuis 1985 un univers rocambolesque, qui prétend concentrer en un seul lieu toute l'histoire de l'humanité.