
Les Equatoriens votent dimanche lors d'élections générales qui devraient se jouer aux pôles, entre gauche et droite, avec en toile de fond l'imposante absence de l'ex-président Rafael Correa, figure du socialisme latino-américain, condamné pour corruption. Dans un contexte de crise économique aggravée par la pandémie, 13,1 millions d'électeurs sont appelés à désigner le successeur de l'impopulaire président Lenin Moreno. Son mandat de quatre ans s'achève le 24 mai et il ne se représente pas.