
EDITORIAL - Joe Biden a estimé mardi qu'il « fallait un cessez-le-feu » à Gaza, et ce avant le début du ramadan ce dimanche. Une déclaration faite quelques jours après celle de sa vice-présidente Kamala Harris. En toile de fond, l'administration Biden ressert la pression autour de l'Etat d'Israël, et tente de projeter le conflit avec le Hamas dans l'ère post-Netanyahou. Un sujet majeur quelques mois avant la présidentielle américaine.